La vie, on l’aime ou on la quitte.

La vie, on l’aime ou on la quitte.

La vie, on l’aime ou on la quitte. C’est le slogan de cette maladie pandémique du Monde.

Rester chez soi

Rester chez soi est la solution pour éviter d’être contaminé.

Mais a fin du confinement risque d’être un moment très difficile car nous avons été privé de liberté pendant plusieurs mois.

En Israël, ou nous sommes dans cette première phase de déconfinement, je peux témoigner de ce qui se passe exactement.

Les cafés ne sont pas encore ouverts, et la première remarque est que les espaces verts sont pris d’assaut.

Ce Shabbat, la promenade face à la mer, étaient noire de monde. Mais la quasi totalité des adultes étaient masqués.

Hier, j’étais dans un supermarché faire des achats, et je me suis fait insulter car je ne respectais pas les 2 mètres d’écart et que mon masque ne couvrait pas mon nez.

L’israélien est très discipliné et les risques de rechutes devrait être limités.

La vie, on l’aime en Israel.

La vie, on l’aime différemment en France

Je vis en Israel, et mon jugement provient des informations que je vois à la télévision.

J’ai eu un ami parisien au téléphone hier, il m’a dit que lui et toute sa famille avaient attrapés ce virus. Comme beaucoup de Juifs.

La France, qui se considère comme la détentrice de la rigueur du judaïsme, se croyant sous la protection divine se permet quelques écarts.

On a tous vu les images de ce religieux qui s’était fait tabassé violemment par des policiers à la sortie de la synagogue.

Mais en France, la justice est à deux vitesses et surtout opposée entre les responsabilités juives et arabes.

Dans certaines banlieues, aucune mesure de confinement n’est imposée. Les commerces sont ouverts même la nuit en toute inégalité.

Le commerce de la drogue est “protégé” par la police qui le laisse faire, naturellement pour la “paix sociale”

Cette situation est une porte ouverte à la propagation du virus.

De facto, ces zones s’auto confinent, mais le virus peut se propager sans risques, véhiculé par des drogués qui peuvent être porteur.

La vie, on l’aime moins dans ces quartiers.

Le déconfinement en France.

Le français de nature est beaucoup moins discipliné que l’israélien et on voit beaucoup de personnes dans les rues sans masques.

Et quand ces banlieusards, souvent porteurs sains, viendront se mélanger à la population, le risque de rechute sera énorme.

J’ai même très peur de la réouverture des synagogues, ne soyons pas pressé d’y retourner.

Il ne faut pas oublier que les jeunes de ces banlieues baignent dans l’antisémitisme.

En cas de rechute, Israel montré comme exemple de guérison, sera responsable de la propagation du virus.

Israel, donc les Juifs seront responsables. Les risques d’attaques antisémites vont certainement se produire.

La vie, on l’aime ou on la quitte.

Après le virus du covid, le virus de l’antisémitisme va renaitre.

Le seul remède risque d’être.

La France, on l’aime ou on la quitte.

Ironie de l’Histoire ou la France est comparée à ses ennemis et ce sont ses amis qui doivent la quitter.

C’est malheureusement la France de demain qui se dessine.

 

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