L’amour d’une mère est irremplaçable
Un proche vient de perdre sa maman et naturellement je pense à la mienne a qui je souhaite de continuer à vivre le plus longtemps possible a mes cotés.
Je sais qu’à mon age beaucoup de personnes ont naturellement perdu leur maman et j’ai la chance de l’avoir encore près de moi pour la chérir encore et encore.
Je n’ai malheureusement pas les mots d’amour facile et j’ai beaucoup de difficulté à lui déclamer mon amour, mais j’essaye le plus possible de la meubler de ma présence et de mon soutien.
Pleurer sa mère, c’est pleurer son enfance. L’homme veut son enfance, veut la ravoir, et s’il aime davantage sa mère à mesure qu’il avance en âge, c’est parce que sa mère, c’est son enfance. J’ai été un enfant, je ne le suis plus, et je n’en reviens pas.
Je voudrais lancer un message a tous ceux qui ont leur mère, quelque soit leur age, de leur donner un maximum d’amour.
La mort n’est pas une science précise et l’amour qu’on peut donner à sa mère ne doit se faire pas attendre.
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Quand le ciel décide de nous la rappeler, sa décision est irrévocable. Le plus difficile est pour ceux qui continuent à vivre et le manque , la sensation de manque pour une mère qui nous a donné la vie est la coupure définitive du cordon ombilical.
Ce que les morts ont de terrible, c’est qu’ils sont si vivants, si beaux et si lointains. Si belle elle est, ma mère morte, que je pourrais écrire pendant des nuits et des nuits pour avoir sa présence auprès de moi, forme auguste de la mort, forme allant lentement auprès de moi, royalement allant, protectrice encore qu’indifférente et effrayamment calme, ombre triste, ombre aimante et lointaine, calme plus que triste, étrangère plus que calme.
Le cordon ombilical physique est coupé à la naissance, mais le cordon ombilical du cœur est toujours vivace et se casse au départ de l’être sublimé qui nous a donné la vie.
Elle nous a élevé et surtout aimé depuis notre plus jeune age, que nous avons rejeté à notre adolescence et avec qui nous nous sommes réconcilié en donnant nous même la vie.
Édentés ou non, forts ou faibles, jeunes ou vieux, nos mères nous aiment. Et plus nous sommes faibles et plus elles nous aiment. Amour de nos mères, à nul autre pareil.
Avec le temps nous sommes devenus nous même le parent de notre mère en la cocoonant comme elle l’a fait elle même.
je vais laisser la parole à Albert Cohen qui a su mettre ces mots pleins d ‘émotion que beaucoup d’entre nous vont ressentir
Le Livre de ma mère
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Pour tous ceux qui ont encore leur mère
Fils des mères encore vivantes, n’oubliez plus que vos mères sont mortelles. Je n’aurai pas écrit en vain, si l’un de vous, après avoir lu mon chant de mort, est plus doux avec sa mère. Aimez-la mieux que je n’ai su aimer ma mère. Que chaque jour vous lui apportiez une joie, c’est ce que je vous dis du droit de mon regret, gravement du haut de mon deuil.
Le sourire est l’arme du malheureux
Souris pour escroquer ton désespoir, souris pour te forcer à feindre de vivre, souris toute ta vie à en crever.
Pour cette mère qui ne maitrisait pas parfaitement le français
Peut-être parce que son accent étranger et ses fautes de français en téléphonant à ces crétins cultivés m’avaient gêné. Je ne les entendrai plus jamais, ses fautes de français et son accent étranger
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