Category: histoire

  • Chavouot

    Chavouot

    chavouot

    Chavouot

    La thora que Moise nous a prescrite est un héritage pour le communauté de Jacob (deut,33,4)

    Il y a plus de 3300 ans, Moise reçu la Thora, mais les anges refusèrent que Moise la transmette aux humains

    Moïse fit comme D.ieu le lui avait conseillé et, s’adressant aux anges, il répondit : « Voilà ce qui est écrit dans la Torah : “Je suis l’Éternel, ton D.ieu, qui t’ai fait sortir du pays d’Égypte. Tu n’auras point d’autres dieux devant Ma face. Tu ne déroberas point. Tu ne tueras point.” Dites-moi, ô Anges, est-ce vous qui étiez esclaves en Égypte ? Est-ce que vous, qui chaque jour regardez en face la gloire de D.ieu, vous pourriez adorer des dieux en bois ou des idoles en pierre ? Avez-vous jamais eu la tentation de voler ou de vous faire du mal l’un à l’autre ? Non, vraiment, la Torah n’est pas pour vous, mais pour nous, les êtres humains. »

     

    Lorsque Moïse eut fini son discours, chacun des anges comprit que les paroles prononcées par Moïse étaient justes et sages, et ils répondirent : « Que la volonté de D.ieu soit faite ! »

    1. Je suis l’Éternel, ton D.ieu, qui t’ai fait sortir du pays d’Égypte, d’une maison d’esclaves.

    2. Tu n’auras pas d’autres dieux devant moi. Tu ne te feras point d’idole, ni toute image de ce qui est en haut dans le ciel, ou en bas sur la terre, ou dans les eaux au-dessous de la terre. Tu ne te prosterneras point devant elles, tu ne les adoreras point ; car moi, l’Éternel ton D.ieu, je suis un D.ieu jaloux, qui poursuis la faute des pères sur les enfants jusqu’à la troisième et à la quatrième génération, pour ceux qui me haïssent ; et qui exerce la bienveillance jusqu’à la millième, pour ceux qui m’aiment et gardent mes commandements.

    3. Tu n’invoqueras point le nom de l’Éternel ton D.ieu en vain; car l’Éternel ne laisse point impuni celui qui invoque son nom en vain.

    4. Souviens-toi du jour du Chabbat pour le sanctifier. Durant six jours tu travailleras, et tu auras fait tout ton travail ; et le septième jour c’est le Chabbat pour l’Éternel ton D.ieu : tu ne feras aucun travail, toi, et ton fils et ta fille, ton esclave mâle ou femelle, ton bétail, et l’étranger qui est dans tes murs. Car en six jours l’Éternel a fait le ciel, la terre, la mer et tout ce qu’ils renferment, et il s’est reposé le septième jour; c’est pourquoi l’Éternel a béni le jour du Chabbat et l’a sanctifié.

    5. Honore ton père et ta mère, afin que tes jours se prolongent sur la terre que l’Éternel ton D.ieu t’accordera.

    6. Tu ne commettras pas d’homicide.

    7. Tu ne commettras pas d’adultère.

    8. Tu ne voleras pas.

    9. Ne rends point contre ton prochain un faux témoignage.

    10. Ne convoite pas la maison de ton prochain ; Ne convoite pas la femme de ton prochain, son esclave ni sa servante, son bœuf ni son âne, ni rien de ce qui est à ton prochain.

      

    Manger des laitages a Chavouot

    Trouvez une réponse à toutes vos questions pour la réussite de votre Alyah.

    Promotions
    Nos Promotions

    .


    Nos Promotions

    Kanyon HaSarfatit
    Kanyon HaSarfatit

    .


    Kanyon HaSarfatit


    Site de rencontre

    .


    Site de rencontre


    Immobilier

    .


    Immobilier

    offre d'emploi



    Médical

    .


    Médical


    Politique

    .


    Politique

    Prieres phonetiques
    Priàres phonetiques

    .


    Priàres phonetiques

  • Haggadah de Pessah

    Haggadah de Pessah

    Haggadah de Pessah

    Version Tunisienne

    Version Constantinoise

     

    Version Marocaine

    Version phonétique à télécharger

    La haggadah de Pessah

    La haggadah est l’Histoire de la naissance du peuple juif.

    Les hébreux étaient esclaves de Egyptiens depuis 400 ans. La naissance de Moise, son éducation parmi les égyptiens et de Pharaon.

    Sa prise de conscience, sa rencontre avec D.ieu et sa Mission.

    Retour en Egypte pour délivrer son peuple.

    Le récit de la haggadah relate seulement l’épisode de la sortie d’Egypte.

    Le passage de l’esclavage à la liberté

    Le passage des Hébreux au peuple Juif

    C’est la naissance d’un peuple et l’avènement de sa liberté de conscience.

    Le Seder c’est un récit ou les enfants questionnent pour comprendre. Le questionnement est un signe de liberté car l’esclave doit obéir sans se poser de question.

    La Matsa, symbole par excellence de la soirée de Pessah, rassemble, à elle seule, tous les contraires : elle est le pain de pauvreté que nos ancêtres ont mangé en Egypte et le pain de liberté qui n’a pas eu le temps de lever au moment où les Enfants d’Israël ont quitté l’Egypte.

    Dans ce récit, Moise qui est le chef d’orchestre de cette histoire, n’est que très peu mentionné ou alors suivie de “son serviteur”.

    En effet le seul et l’inique décisionnaire est D.ieu qui décide et qui réalise.

    Avec Moise, comme détenteur de sa parole.

    Et diminuer sa puissance car Moise était Bègue et il se servait de son frère Aaron pour parler.

    L’enjeu du Seder est la liberté de conscience donnée par D.ieu les libérant du statut d’esclave et du don de la Thora entachée par l’épisode du veau d’or dont la conséquence a été une errance de 40 années

    Pour que la génération d’esclave qui n’a pas su user de sa liberté de conscience disparaisse pour donner naissance à un peuple né libre, conscient de la puissance Divine et prêt à se battre pour sa gloire et pour conquérir le pays qui lui a été promis.

    Puissance de la Haggadah de Pessah

    Les chrétiens se sont servi du repas de Pessah de Jésus (la cène) pour donner naissance au christianisme. En effet ce soir la Judas a vendu Jésus aux romains qui l’ont attrapé pour le crucifier. En effet c’est après cet épisode que l’histoire de Jésus a commencé.

    Et nous-même peuple juif, Après le sinistre épisode de la Shoah, nous sommes toujours obligés de nous battre avec l’aide de D.ieu pour conquérir le pays qui nous a été promis.

    Et nous prions ce soir la, ” l’an prochain à Jérusalem” En attendant l’arrivée de Machiah

     

     

     

  • Moshe Dayan

    Moshe Dayan

    Moshe Dayan

    Moshe Dayan , militaire et homme politique israélien

    Moshe Dayan était un militaire et homme politique israélien de premier plan, qui a joué un rôle clé dans l’histoire d’Israël depuis sa fondation en 1948 jusqu’à sa mort en 1981.

    Moshe Dayan, sioniste de la première heure

    Il a été un fervent partisan du sionisme, une idéologie qui prône l’établissement d’un État juif en Terre d’Israël, et il a joué un rôle important dans la défense et la construction de l’État juif.

    Moshe est né en 1915 dans une famille sioniste en Palestine sous l’Empire ottoman, et a été élevé dans un environnement qui valorisait le travail de la terre et la défense de la communauté juive en Palestine.

    Le chef militaire

    Il a rejoint les forces armées juives en 1939, avant même la fondation de l’État d’Israël, et a participé à la guerre d’indépendance de 1948 qui a conduit à la création de l’État juif.

    Moshe a ensuite servi dans de nombreux postes clés de la défense et de la sécurité d’Israël, notamment comme chef d’état-major des Forces de défense israéliennes (FDI) et comme ministre de la Défense.

    Ce n’est pas à nous d’empêcher le meurtre des travailleurs… et des familles… mais c’est à nous de fixer un prix élevé pour notre sang, si élevé que la communauté arabe et les forces militaires arabes ne voudront pas le payer

    Le sionisme de Moshe Dayan était profondément ancré dans sa conviction que les Juifs avaient un droit historique et moral à la Terre d’Israël, et il a travaillé sans relâche pour défendre et renforcer l’État juif face aux menaces externes et internes.

    Moshe Dayan et la politique

    Il croyait en une politique de fermeté et de détermination envers les ennemis d’Israël, mais aussi en une certaine flexibilité dans les relations avec les pays arabes voisins.

    Moshe Dayan a été un ardent partisan de l’expansion des colonies juives en Cisjordanie et à Jérusalem-Est, qui sont des territoires que les Palestiniens revendiquent pour leur propre État.

    Il pensait que la présence juive dans ces zones était essentielle à la sécurité d’Israël et à la réalisation du rêve sioniste d’un État juif souverain en Terre d’Israël.

    Si tu veux faire la paix, tu ne parles pas à tes amis. Tu parles à tes ennemies.

    Cette politique de colonisation a cependant été fortement critiquée par les Palestiniens et la communauté internationale, qui la considèrent comme une violation du droit international et un obstacle à la paix.

    Malgré ses positions controversées, Moshe Dayan était respecté pour sa force de caractère, sa vision stratégique et son courage sur le champ de bataille.

    Il a été blessé à plusieurs reprises au cours de sa carrière militaire, mais a continué à servir Israël avec dévouement et détermination jusqu’à la fin de sa vie.

    Son héritage sioniste est toujours célébré en Israël aujourd’hui, où il est considéré comme l’un des fondateurs de l’État juif moderne et un symbole de la détermination et de la résilience du peuple juif.

    Marc-Elie-Gozlan

    Trouvez une réponse à toutes vos questions pour la réussite de votre Alyah.

    Promotions
    Nos Promotions

    .


    Nos Promotions

    Kanyon HaSarfatit
    Kanyon HaSarfatit

    .


    Kanyon HaSarfatit


    Site de rencontre

    .


    Site de rencontre


    Immobilier

    .


    Immobilier

    offre d'emploi



    Médical

    .


    Médical


    Politique

    .


    Politique

    Prieres phonetiques
    Priàres phonetiques

    .


    Priàres phonetiques

  • Golda Meir

    Golda Meir

    Golda Meir

    Golda Meir, figure légendaire de l’histoire d’Israël

    Golda Meir est une figure légendaire de l’histoire d’Israël. Son parcours est inspirant et témoigne de sa force de caractère, de sa détermination et de sa vision pour l’avenir de son pays.

    Née en Ukraine en 1898, elle est la dernière des huit enfants de sa famille. À l’âge de huit ans, elle émigre avec sa famille aux États-Unis, où elle grandit et reçoit une éducation laïque.

    En 1921, Golda Meir émigre en Palestine mandataire et s’installe dans un kibboutz, où elle devient une militante sioniste.

    Au cours de sa vie, Golda Meir a occupé plusieurs postes gouvernementaux importants.

    En 1949, elle est élue membre du Parlement israélien, la Knesset. Elle y siège pendant de nombreuses années et devient ministre du Travail et des Affaires sociales en 1949, puis ministre des Affaires étrangères en 1956.

    En 1969, elle est nommée Premier ministre d’Israël, devenant ainsi la première femme à occuper ce poste dans l’histoire moderne.

    Je préfère vos condamnations à vos condoléances

    Les défis de Golda Meir

    Pendant son mandat de Premier ministre, Golda Meir a dû faire face à des défis importants.

    L’un des plus grands a été la guerre de Kippour en 1973, au cours de laquelle les forces arabes ont attaqué Israël. Malgré des pertes importantes, Israël a réussi à repousser l’attaque et à maintenir sa sécurité.

    Golda Meir reproche à Henry Kissinger de ne pas assez soutenir Israël alors qu’il est de confession juive. Kissinger : – Je suis d’abord citoyen du monde, puis américain, puis républicain, puis juif. – Justement, en hébreu on lit de droite à gauche.

    Golda Meir était également un leader déterminé dans les négociations de paix.

    Elle a travaillé pour renforcer les relations d’Israël avec les États-Unis et a joué un rôle important dans la négociation des accords de paix de Camp David en 1978, qui ont abouti à la signature d’un traité de paix entre Israël et l’Égypte.

    La vie politique de Golda

    Ben Gourion, qui ne passait pas pour un tendre, dira d’elle qu’elle était « le seul homme de son gouvernement ».

    Pour réussir, une femme doit être bien meilleure qu’un homme.

    Golda Meir était une figure politique forte et charismatique, mais elle était aussi une défenseure de l’égalité des droits pour tous les citoyens d’Israël, quelle que soit leur religion ou leur origine.

    Elle a travaillé pour améliorer les conditions de vie des travailleurs et des familles en Israël et a lutté pour l’égalité des sexes.

    Golda Meir est décédée en 1978, mais son héritage en tant que l’une des premières femmes à occuper le poste de Premier ministre dans le monde et son leadership politique fort sont toujours admirés en Israël et dans le monde entier.

    Elle reste une source d’inspiration pour les femmes qui aspirent à des postes de direction et pour tous ceux qui travaillent pour un avenir meilleur et plus juste.

    Sa vie est un exemple de la force de caractère, de la détermination et de la vision nécessaires pour faire une différence dans le monde.

    Marc-Elie-Gozlan

    Trouvez une réponse à toutes vos questions pour la réussite de votre Alyah.

    Promotions
    Nos Promotions

    .


    Nos Promotions

    Kanyon HaSarfatit
    Kanyon HaSarfatit

    .


    Kanyon HaSarfatit


    Site de rencontre

    .


    Site de rencontre


    Immobilier

    .


    Immobilier

    offre d'emploi



    Médical

    .


    Médical


    Politique

    .


    Politique

    Prieres phonetiques
    Priàres phonetiques

    .


    Priàres phonetiques

  • KKL Le Karen Kayemeth LeIsrael

    KKL Le Karen Kayemeth LeIsrael

    KKL Le Karen Kayemeth LeIsrael

    KKL Le Karen Kayemeth LeIsrael, la première institution sioniste qui sera la clé de voute du futur Israël.

    Il a été fondé par Théodore Hertzl sur les conseil de Zvi Hermann Shapira, lors du 5e congrès sioniste de Bâle en 1897.

    Tous les juifs mirent leur obole dans les célèbres boites bleues que j’ai toujours connues.

    Le sionisme aspire à créer en Palestine, pour le peuple juif, un foyer publiquement  reconnu et légalement garanti

    Il n’y a point de Foyer National, si ses habitants ne sont pas propriétaire du sol sur lequel ils vivent.

    On ne constitue pas une patrie sur le sol d’autrui.

    [su_youtube_advanced url=”https://youtu.be/m6CZmceM7TY” rel=”no” theme=”light”]

    KKL symbole du sionisme

    Le première tache du sionisme en Palestine est d’acquérir la terre.

    C’est seulement en 1908 que le KKL ou Fond National Juif commence son activité d’acquisition en Palestine.

    La Palestine n’est pas un pays riche capable d’attirer des capitaux privés.

    Elle attire des pionniers qui sont, pour la plupart, des gens riches en idéalisme ,mais pauvres en argent.

    Les institutions suprêmes du sionisme ont pour devoir de faire venir ces travailleurs en Palestine.

    Le KKL va mettre à leur disposition les terres où pourront s’établir les pionniers dès leur arrivée dans le pays de leurs rêves.

    Les principes du KKL

    Les fonds nécessaires à l’acquisition des terre sont fournis au KKL par la diaspora qui n’attend rien d’autre que la rédemption de la terre d’Israël.

    Le deal est simple, les juifs de l’étranger fournissent la terre et le juifs de Palestine fournissent le travail.

    De ce Binôme vont naitre des colonies fertiles et prospères d’une terre très souvent ingrate qui va revivre du travail de ses pionniers.

    Le KKL est donc le propriétaire des biens nationaux, cette terre ne pourra plus être vendue ou transférée sous quelque forme que ce soit.

    La terre sera donnée aux pionniers contre une petite rente pour son usage.

    Un bail de 49 ans sera établi, à l’expiration, le pionnier ou ses héritiers ont droit à un renouvellement exclusif.

    En restant propriétaire du titre de propriété, la terre un fois acquise pourra empêcher le transfert des terrains à un non-juif.

    De plus le KKL pourra assurer la répartition égale des terres parmi les habitants de même colonie et empêcher la constitution de grandes propriétés.

    Le KKL et la terre d’Israël.

    La Palestine est un pays inhospitalier. La terre avait été délaissée pendant des siècles par les Turcs désordonnés et les arabes enclins à l’indolence.

    Elle exige donc un travail considérable afin de redonner de bonnes récoltes.

    Le travail du KKL comprend  le drainage des marécages, l’irrigation, l’installation d’eau, de routes et la reforestation.

    Des régions stériles et empoisonnées ont été converties en espaces souriants et cette transformation continue encore de nos jours.

    Le KKL  a acquis la plus grande partie de ses terres des mains des “Effendis”, les gros propriétaires, qui les laissaient en friche.

    On peut affirmer, sans hésiter, que le KKL a contribué à arracher de la misère les populations locales.

    Fondé sur des principes de justice, le KKL  est un instrument de lutte  pour la justice sociale, nationale et humaine.

    Il est à l’origine d’un système où l’individualité va céder le pas au collectivisme organisé avec la création de kibboutzim ou de Moshavim.

    Depuis 1898 et jusqu’à nos jours, le KKL poursuit son œuvre.

     

     

     

     

     

  • Kasztner, traitre ou héros juif

    Kasztner, traitre ou héros juif

    Kasztner, traitre ou héros juif

    Kasztner, traitre ou héros juif pendant la seconde guerre mondiale.

    Rudolf Katszner était né en Hongrie en 1906, dirigeant du Va’adat Ezrah Vehatzalah (Vaada), ou Comité d’Aide et de Secours, pendant l’occupation de la Hongrie par les nazis.

    Il avait négocié avec Eichmann pour sauver la vie de 1684 juifs hongrois et diriger le train qui devaient les emmener à Auschwitz vers la Suisse, vers la liberté.

    L’élément central de l’accord avec Eichmann était le fameux « Goods for Blood », un arrangement à travers lequel les nazis troquaient des vies juives contre de l’argent, des armes, et des vivres pendant la période de guerre.

    Oskar Schindler le considérait comme « l’homme le plus courageux qu’il ait rencontré »

    [su_youtube_advanced url=”https://youtu.be/DDsAiRbw39c” rel=”no” theme=”light”]

    Le train de Kasztner

    Kasztner n’hésita pas à négocier avec Adolf Eichmann , pour organiser, contre paiement d’une rançon, le sauvetage de 1.684 juifs hongrois.

    Les passagers comprenaient 199 sionistes de Transylvanie et 230 de Budapest, et 126 juifs orthodoxes et ultra-orthodoxes, dont 40 rabbins ; l’un des rabbins était Joel Teitelbaum , le rabbin de Satmar .

     Il y avait des savants, des artistes, des femmes au foyer, des paysans, des fermiers, des industriels, des banquiers, des journalistes, des enseignants et des infirmières. 

    L’écrivain Béla Zsolt était à bord, tout comme le psychiatre Léopold Szondi , le chanteur d’opéra Dezső Ernster , l’artiste István Irsai , et Peter Munk , devenu homme d’affaires au Canada.

    Il y avait également 388 personnes de la ville natale de Kastner, Cluj, dont des membres de la famille.

    Sa mère, Helen Kastner, a reçu une place, ainsi que son frère Ernő, sa femme enceinte Bogyó (elle a donné naissance à une fille, Zsuzsi, en Suisse en décembre 1944), ainsi que son père József Fischer, et d’autres proches.

    Chaque passager était autorisé à apporter deux vêtements de rechange, six ensembles de sous-vêtements et de la nourriture pendant 10 jours.

    Trois valises d’argent liquide, de bijoux, d’or et d’actions, d’un montant d’environ 1 000 $ par personne (équivalent à 15 000 $ en 2020), ont été payées en rançon à l’ officier SS Kurt Becher

    Qui était Rudolf Kasztner ?

    Un héros qui a sauvé 1.684 juifs hongrois de l’extermination durant la Seconde guerre mondiale ou une crapule qui n’a pas hésité “à vendre son âme au diable” en négociant ce sauvetage avec les nazis ?

    Il est évident que pour pouvoir négocier directement avec Eichmann, Rudolf Kasztner a dû fréquenter le milieu SS de Hongrie.

    Il est certain qu’il n’a pas pu sauver tous les juifs de Hongrie tout en sachant pertinemment qu’ils allaient à la mort.

    Homme politique israélien après la création de l’état d’Israël, il a été accusé par l’extrême droite d’être un traitre et d’avoir “vendu son âme au diable.”

    Il lui a été reproché de secourir certains juifs en échange du silence sur le sort de la masse des Juifs hongrois.

    Il fut condamné par la justice israélienne en 1954, condamnation annulée par la cour suprême en 1958.

    Un an avant, en mars 1957, Rudolf Kasztner est assassiné par un extrémiste religieux devant son domicile à Tel-Aviv .

    Un journaliste et politicien a donc mené une campagne pour réhabiliter le nom de Kasztner.

    Également juif hongrois, il s’appelait Tommy Lapid, père de Yair Lapid, dirigeant du parti actuel Yesh Atid.

    La petite fille de Kasztner est Merav Michaeli la nouvelle Ministre des transports.

    Quel doit être la position des extrémistes religieux aujourd’hui ?

    En juillet 2007, la famille de Kasztner est venue à Yad Vashem faire don de ses archives privées.

    “Si l’on voulait rassembler tous les enfants et les enfants de ces enfants sauvés par Kasztner pendant la guerre, le plus grand stade d’Israël n’y suffirait pas

    Il n’y a pas eu d’homme dans l’histoire de l’holocauste qui ait sauvé tant de juifs tout en subissant autant d’injustice”

     

     

     

     

     

     

  • Rabbin-pirate Samuel Palache

    Rabbin-pirate Samuel Palache

    Rabbin-pirate Samuel Palache

    Samuel Palache, est une figure de la piraterie juive qui écuma les mers contre la flotte espagnole.

    Au 15ème siècle, pendant l’inquisition, les juifs ne se sont pas tous fait malheureusement brulés sur des buchers.

    Beaucoup se sont révoltés et se sont battus contre les espagnols.

    Parmi ceux la, il y avait un rabbin, le rabbin Samuel Palache. Je vais vous raconter son histoire..

    le Rabbin Samuel Palache a eu 3 activités complètements différentes.

    Il ne faut pas oublier que les rabbins de l’époque avait un travail pour subvenir à leurs besoins.

    Avec un tel pédigrée, nous aurions pu penser trouver un rabbin classique, mais l’époque et l’homme en on fait un rabbin hors norme.

    Le Rabbin-pirate

    Né en 1550 à Fez au Maroc d’un père Rabbin Isaac Pallache rabbin de Cordoue en Espagne , son onche Judah Uziel était le grand rabbin de Fez, son neuveu Isaac Uziel a été le grand rabbin de la communauté Neve Shalom à Amsterdam.

    A l’age de 60 ans, il devient pirate après avoir accompagné des corsaires hollandais en mer pour capturer des navires espagnols qui revenaient des Amériques.

    Rabbin-marchand Samuel Palache

    Pallache a eu une activité de marchands, commerçant, négociant entre les pays-bas et le Maroc. En effet il vendait les marchandises obtenues par des actes de piratage sur les galions espagnols le long des cotes marocaines qu’il revendait à Amsterdam.

    Il fonda la synagogue d’Amsterdam ou le premier Minyan a eu lieu chez lui le jour de Yom Kippour 1596

    Rabbin-espion Samuel Palache

    Arrivé aux Pays-Bas entre 1590 et 1597. Les Pays-bas et le Maroc voulaient s’allier contre l’Espagne.

    Le sultan marocain Zidan Abu Malli nomma le marchand Samuel Palace émissaire auprès du gouvernement néerlandais à La Haye Le 24 décembre 1610, les deux nations ont signé le Traité d’amitié et de libre-échange , un accord reconnaissant le libre-échange entre les Pays-Bas et le Maroc et permettant au sultan d’acheter des navires, des armes et des munitions des Hollandais.

    Et réalité Samuel Palache était un agent double. Il a transmis des informations classifiées sur les relations néerlandaises-marocaines à l’Espagne.  et il transmettait des informations sur l’Espagne aux Néerlandais et aux Marocains.

    La fin du Rabbin pirate

    En 1614, après avoir attaqué un navire portugais et en route pour les Pays-Bas , une forte tempête la contrait a s’abriter dans un port anglais. A la demande de l’Ambassadeur d’Espagne, il fut arrêté et emprisonné. Finalement grâce a ses biens et a ses relations, il fut libéré.

    Ruiné, il tomba malade et mourut en pleine misère le 4 février 1616

    Il a été enterré avec une pierre tombale dans Beth Haim d’Ouderkerk aan de Amstel ,près d’ Amsterdam , un «cimetière de la communauté juive portugaise» 

     

    Il n’a pas été le seul ptraye juif

    Que ce soit pour prospérer, survivre, se venger, ou tout simplement vivre au sein d’une communauté où il n’y a pas de temps laissé à la discrimination,

    Les juifs ont trouvé dans la piraterie une voie étonnante dans laquelle ils se sont épanouis.

    Marc-Elie-Gozlan

             Netanya le 13 juin 2018

     

     

     

     

  • La nation juive et l’assimilation

    La nation juive et l’assimilation

    La nation juive et l’assimilation

    L’assimilation de la nation juive est voulue par Napoléon qui a réglementé le statut des Juifs de France.

    Napoléon a mis fin aux lois de l’inquisition qui étaient encore en vigueur en Europe.

    Napoléon, qui libérera lors de sa campagne d’Italie les ghettos de Venise, d’Ancône, et de Rome… sera perçu par les juifs comme un grand libérateur,

    Sauf par la frange ultraorthodoxe qui y verra le danger d’une «perte identitaire».

    «Heureux comme dieu en France», deviendra une expression emblématique des communautés juives d’Europe.

    De Nation juive à Religion juive

    Du Moyen-Age à l’époque napoléonienne, les communautés juives dispersées en Europe faisaient partie de la Nation Juive.

    Le judaïsme était un ensemble de traditions pratiquées différemment par les juifs, ashkénazes et séfarades.

    Les règles étaient les mêmes, mais la pratique variait suivant les régions, les pays.

    Après la révolution française, l’Empereur voulut réglementer l’ensemble des religions pour les faire cohabiter et assimiler au sein de l’Empire français.

    La Nation juive perdit son titre de Nation au profit de Religion juive.

    Ce peuple, cette nation sans terre, devait s’intégrer à la Nation française.

    Napoléon réunit le sanhédrin afin d’établir les lois d’intégration, dont le but était d’assimiler le peuple juif.

    Règles dont le gouvernement français devrait s’inspirer aujourd’hui pour réglementer l’islam de France.

    Questions posée au sanhédrin

    -«Est-il licite aux juifs d’épouser plusieurs femmes?»
    -«Le divorce est-il permis par la religion juive?»
    -«Une juive peut-elle se marier avec un chrétien et une chrétienne avec un juif?»
    -«Les juifs nés en France et traités par la loi comme citoyens français regardent-ils la France comme leur patrie? Ont-ils l’obligation de la défendre ? Sont-ils obligés d’obéir aux lois et de suivre les dispositions du Code Civil?»
    -«Qui nomme les rabbins?»

    Les réponses du sanhédrin

         «Il est défendu aux Israélites de tous les États où la polygamie est prohibée par les lois civiles, d’épouser une seconde femme du vivant de la première, à moins qu’un divorce avec celle-ci, prononcé conformément aux dispositions du Code Civil et suivi du divorce religieux, ne les ait affranchis des liens du mariage.»

        «les mariages entre israélites et chrétiens, contractés conformément aux lois du Code civil, sont valables ; bien qu’ils ne soient pas susceptibles d’être revêtus de formes religieuses, ils n’entraîneront aucun anathème»

       «La France est notre patrie, les Français sont nos frères. Les juifs sont prêts à défendre la France jusqu’à la mort»

    En conclusion

    «Béni soit le Seigneur, le Dieu d’Israël, qui a placé sur le trône de France et le Royaume d’Italie un prince d’un si noble cœur (Napoléon)… Ces ordonnances montreront aux nations que nos dogmes sont compatible avec les lois civiles sous lesquelles nous vivons, et ne nous séparent point du tout de la société des hommes… »

    La religion juive était née et les juifs devenaient des français avant tout. La religion était réglementée et les juifs heureux de trouver un statut enfin “égalitaire” se mirent à aimer la France.

    Un acte important des français en colonisant l’Algérie a été de déclarer les juifs “citoyens français”

    Les juifs se sont fondus, assimilés dans la société française et n’ont gardé que quelques traditions pour se différencier des autres français.

    Il a fallu attendre l’expulsion des Juifs du Maghreb pour voir le judaïsme renaitre en France.

    Renaissance de la Nation Juive

    Il faut attendre Netanyahou pour voir voter une loi spécifique en Israel

    La loi  Israël, État-nation du peuple juif, adoptée le par la Knesset.

    La notion de Nation juive est remise sur le tapis des Nations.

    Israel est le seul état Nation des Juifs.

    Le peuple juif doit réintégrer sa Terre promise, tout en continuant à vivre et travailler dans son pays d’accueil.

    Si Sarah Halimi avait été israélienne, les conclusions  procès auraient été différentes.

     

     

  • Le tournant d’Israël en 1967

    Le tournant d’Israël en 1967

    Le tournant d’Israël a eu lieu en 1967, l’Israël des pionniers est devenu l’Israël conquérant.

    Le pays a complétement changé de l’intérieur comme de l’extérieur.

    En 67 j’avais 14 ans, déjà un adulte conscient de ma qualité de Juif en galout à l’écoute d’Israël.

    J’avais été déraciné de Tunisie et j’avais subit l’accueil raciste des français en pleine guerre d’Algérie.

    Et j’avais fait mon premier voyage en 1970 à 17 ans, mon premier voyage de sioniste.

    J’aimais Israel, je croyais connaitre mon pays, mais je ne savais rien.

    Israel de 1948 à 1967

    Depuis le début du siècle précédent, des pionniers venus des pays de l’Est de Russie et d’Allemagne avaient commencé à peupler le pays.

    Contre les Ottomans d’abord et à partie de 1917 de l’Angleterre, la perfide Albion, contre qui ils devaient lutter.

    Ces premiers pionniers devaient lutter contre les arabes et contre l’occupant.

    Il ne faut pas croire qu’Israël a été créé au lendemain de la guerre d’une manière naturelle.

    Les Juifs avaient le monde entier contre eux.

    Les américains ne voulaient pas de Juifs, Les Européens continuaient à les enfermer dans des camps, souvent même en Allemagne.

    Et les Juifs de Palestine devaient se battre contre les Anglais, malgré la Déclaration Balfour.

    Les Anglais qui refusaient l’émigration de Juifs en Palestine.

    Et les Arabes qui les tuaient tous les jours ( le Massacre des Juifs de Hébron)

    Et des massacres de Deir Yassin par les Juifs le 9 avril 48 qui a été le déclencheur.

    Le vote de la Société des Nations(l’ONU) a été “acheté” pour la bonne conscience mondiale le 14 mai 1948.

    En pensant que les arabes allaient finir le travail des nazis.

    La guerre des 6 jours en 1967, le tournant d’Israel

    Jusqu’en 1967, Israel était un pays socialiste et la Gauche étaient maitre du pays.

    Sous la pression de l’Égypte et des pays arabes, Israël était prise sous la pression de la guerre et d’une possibilité extermination.

    Moshe Dayan et Menahem Begin, de Droite, avait rejoint le gouvernement de Gauche de Levy Eshkol.

    Israel a attaqué et sa victoire a été historique et l’événement le plus marquant a été la prise de Jérusalem Est,

    La prise de Jérusalem, qui n’était pas prévue dans les plans a été considéré comme un miracle divin.

    Israel de Gauche et Laïque a commencé à devenir de Droite et Religieuse.

    Il a fallut attendre la Guerre de Kippour en 1973 pour voir Israel changer complètement.

    Les religieux nationalistes ont commencé à construire les premières implantations.

    Les territoires conquis qui devaient être une monnaie d’échange pour une paix proche et définitive sont devenus Israéliens

    Et la Palestine est devenue un mythe pour les arabes.

    Israel d’aujourd’hui

    Les deux camps ont cultivés cette situation d’immobilité

    Les israéliens pensait que les palestiniens s’intégreraient dans leurs pays d’accueil et que le problème se règlerait toute seule.

    Les Palestiniens avaient des dirigeants qui profitaient des largesses du monde pour s’enrichir.

    Et surtout la haine d’Israël, pour arriver a la situation actuelle.

    La solution à deux états s’est estompée et la Paix n’a jamais été aussi loin.

    Le Chaos qui dérègle le monde actuel isole les palestiniens qui n’ont jamais voulu accepter simplement l’existence d’Israël.

    La paix humaine semble utopique, seule la volonté divine pourra pacifier la région.

    C’est un résumé de l’Histoire d’Israël que je vais essayer de développer plus tard.

     

     

  • Que sera le monde demain

    Que sera le monde demain

    Que sera le monde demain, que laisserons nous à nos enfants et nos petits enfants , quel sera leur vie.

    Beaucoup de questions qui vont rester sans réponses

    Qu’avons nous fait depuis 50 ans

    50 ans, c’est hier, c’est un monde que beaucoup d ‘entre nous ont connu.

    J’ai un souvenir qui me vient à l’esprit et je vais vous le raconter et vous allez comprendre le fossé qui s’est creusé en 50 ans.

    Je ne sais pas si j’avais 18 ans ou je devais à peine les avoir

    J’habitais à Villiers-le-Bel, dans la banlieue nord de Paris , le 95, et je vivais dans une cité dortoir et j’étais heureux d’y vivre.

    C’était un samedi soir et j’avais décidé d’aller en boite, je me rappelle c’était la “Tour de Nesles”

    J’avais rendez-vous avec une copine et la soirée s’annonçait très bien.

    J’étais allé à Paris en train, et j’avais mangé un Wimpy (l’ancêtre du Mc Do) à la Gare du Nord.

    Marche jusqu’au Pont-neuf, lieu de mon Rendez-vous, je retrouve ma copine.

    On traverse les quai, rue Dauphine ou on s’attable dans un café.

    Ensuite, direction Boite. J’avais la permission du dernier train pour rentrer, et j’avais l’intention de le rater.

    Excellente soirée et vers 5h je retourne à la Gare du Nord pour prendre le premier train. (C’était encore des trains à vapeur)

    Arrivé à la gare de Villiers-le-Bel , j’avais encore 3 km à faire à pieds pour rentrer chez moi.

    Sur le chemin, une voiture de police s’arrête et me demande ou je vais. Et ils se proposent gentiment de m’accompagner.

    Je ne vous raconte pas la tête de ma mère qui m’a vu arriver dans ce camion noir et blanc.

    Et les policiers se sont excusés auprès de ma mère pour lui avoir fait peur.

    Qu’es ce qui a changé et que nous ne verrons plus demain

    Beaucoup de choses à part que je n’ai plus 18 ans.

    Je pouvais sortir seul en train et déambuler toute la nuit à Paris sans risques.

    Personnellement je n’ai jamais été attiré ni par l’alcool, ni par la drogue.

    Je n’avais pas de téléphone portable pour prévenir de mon retard et je ne sais même pas si on avait déjà le téléphone à la maison.

    Les rapports entre les jeunes étaient beaucoup plus sains qu’aujourd’hui et le respect envers les filles était normal.

    Je ne sais même pas si j’avais mes papiers sur moi.

    Et cerise sur le gâteau, les rapports avec la police qui étaient la pour nous aider et que nous respections.

    Expliquer notre vie à des jeunes, d’hier à demain

    • Pas de téléphones portables, ni d’Internet, ni d’ordinateur , ni jeux vidéos.
    • Voitures sans rétroviseurs extérieurs ni ceintures de sécurité
    • Essence à 1 francs le litre soit 0.15 cts d’Euro
    • Aucune sécurité dans les aéroports, si ailleurs.
    • Aucune maladie dangereuse comme le sida
    • Je me promenais avec une Maguen David en évidence.
    • Le PSG n’existait pas encore
    • On pouvais dire ce qu’on voulait sans aucun risque et Charly Hebdo était un journal très lu.
    • J’allais au Lycée sans peur de me faire dépouiller
    • Et nous étions heureux dans nos cités.

    Que reste-t-il de tout cela ?

    Comment vivront nos petits enfants en France demain?