Ou en est le Liban
Ou en est le Liban aujourd’hui. Le Liban brule, son économie s’effondre, sa société se disloque, son avenir s’envole en fumée.
Le Liban est à la frontière nord d’Israël et des tentatives d’infiltrement par des membres du hezbollah ont eu lieu la semaine dernière.
Que se passe-t-il exactement
Le Liban n’est plus maitre de sa situation.
Sous l’emprise de la corruption et du hezbollah, qui a pris avec l’argent de l’Iran, une place importante dans la politique du Liban.
Le hezbollah est considéré par beaucoup de pays comme une organisation terroriste.
L’Europe et la France en particulier a divisé ce groupe en 2 parties, La branche armée qu’elle considère comme terroriste, une évidence.
Et la branche politique qu’elle trouve honorable et est prête à discuter avec et même la financer.
Soumission, soumission poussée à l’extrême du ridicule
Le Drian en visite au Liban
Il ne faut pas oublier que le Liban, suite aux accords Sikes-Picot était sous protection française et que depuis les deux pays étaient très liés.
Jacques Chirac avait habité dans un appartement à Paris qui appartient à la famille Hariri qui dirige le Liban.
Le Drian, ministre des affaires étrangères françaises était en visite au Liban la semaine dernière et ses propos ont été très secs.
« Le Drian a été très franc, très frontal. Il a dit la vérité telle qu’elle est, ce qui est important . Il leur a dit de se reprendre en main. Ce n’était pas un ultimatum, mais ce n’était pas le moment des amabilités. »
Le temps des chèques en blanc était révolu et que, en l’absence d’un accord avec le Fonds monétaire international (FMI), garantissant la mise en œuvre des réformes
Les 11 milliards de dollars (9,4 milliards d’euros) d’aide promis à la conférence Cèdre, organisée à Paris en 2018, ne seraient pas débloqués.
La population libanaise
La population libanaise vit très mal la crise. L’économie s’est effondrés, Plus de 40% de la population active sans travail et sans sources de revenues.
Il n’y a pratiquement plus d’électricité, maximum 2 ou 3 heurs par jours.
La population est désespérée et déjà beaucoup de suicides dus à la crise sont signalés.
Les denrées alimentaires ne sont plus accessibles financièrement et il n’y a plus de viande du tout.
Le hezbollah, principale source de revenus, n’est plus alimentée financièrement par l’Iran et aussi en crise.
Deux options se présentent, soit l’option guerrière pour redorer son blason et trouver des sources de revenues.
Mais le risque est très grand, car Israel ne laissera rien passer.
Soit rentrer dans le rang, mais c’est priver leurs chefs de leur source de revenues.
Il ne fait pas se leurrer l’amour de l’argent est plus fort que la haine du Juif.
Et les seuls qui peuvent leur rendre leur honneur en travaillant pour nourrir leurs familles, c’est Israel.
Comme à Gaza, ou le hamas essaye de se rapprocher du fatah pour combattre Israel.
Baliverne, les chefs ne veulent pas tarir leurs sources de revenus et les gazaouis ne rêvent que de retourner travailler en Israel.
Allez comprendre…
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